Mort de Kadhafi et indépendance économique de l’Afrique

Les pays africains sont souvent victimes de la géopolitique qu’ils ne maîtrisent pas. La plupart des conflits sont provoqués par les états-unis et l’europe pour leurs profits et leurs intérêts économiques.

L’occident ne souhaite aucun changement dans les équilibres politiques en Afrique à la seule condition que cela aille dans leur sens (Rappelons que le rapport de force de l’europe résulte de l’esclavage et la colonisation imposés à l’Afrique pendant des siècles).

L’Afrique n’a donc jamais été indépendante. Il faudra à l’Afrique une vraie prise de conscience et des sacrifices énormes pour sortir du système néocolonialiste.

Dans cette interview, l’avocat Marcel Ceccaldi explique les vrais raisons de la guerre en Lybie et de la mort de Kadhafi.

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Mali : l’avocat français Marcel Ceccaldi consulté sur le projet de nouvelle Constitution

Plusieurs personnalités ont participé à la rédaction du projet controversé de nouvelle Constitution. Parmi eux, l’avocat Marcel Ceccaldi qui a notamment défendu Seif el-Islam Khadafi ou le coupe Gbagbo.

Cet habitué du continent a été sollicité fin 2016 par son confrère malien Kassoum Tapo, à l’époque conseiller du président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) chargé de la révision constitutionnelle. « Nous avons fait appel à lui pour ses compétences », explique Tapo, vieille connaissance de Me Ceccaldi et aujourd’hui ministre chargé de la Réforme de l’État. Joint par JA, l’avocat français confirme avoir planché sur ce projet moyennant honoraires.

Entre fin 2016 et début 2017, il a ainsi fait plusieurs voyages à Bamako, où il a été reçu par IBK. Ce n’est pas la première fois que Me Ceccaldi offre ses services en matière de révision constitutionnelle sur le continent : mi-2016, il avait travaillé sur le projet de la Constitution bissau-guinéenne à la demande du Premier ministre, Baciro Dja.

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Jean-Marie Le Pen, invité à la cérémonie d’investiture du président Obiang

L’homme politique français, Jean-Marie Le Pen, eurodéputé et ex-président du Front national, est venu cette semaine en Guinée équatoriale, en qualité d’invité officiel à la cérémonie d’investiture du président Obiang. Il était pour l’occasion accompagné de l’avocat Me Marcel Ceccaldi.

La cérémonie a eu lieu au Centre des Conférences de Sipopo, en présence de 15 Chefs d’État, parmi lesquels : Idriss Deby Itno (Tchad) ; Ali Bongo Ondimba (Gabon) ; Ibrahim Boubacar (Mali) ; Faustin Archange Toudera (RDC) ; Manuel Pinto Da Costa (Sao Tomé-et-Principe) ; Denis Sassou Ngueso (Congo Brazzaville) ; Issoufou Mahamadou (Niger) ; Alpha Conde (Guinée Conakry), ainsi que les vice-présidents du Nigeria et du Burundi, le Premier ministre du Swaziland, et les représentants des Nations-Unies et de nombreux pays.

Le président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, réélu le 24 avril à 93,7 % des suffrages lors des dernières élections présidentielles, a prêté serment et a été décoré de la médaille du Grand Collier de l’Ordre de l’Indépendance, la plus haute distinction du pays.

“Je suis venu avec une délégation pour assister à l’investiture du président Obiang que nous avons en considération“, avait déclaré à la télévision d’État, mercredi soir, Jean-Marie Le Pen à son arrivée à l’aéroport de Malabo.

On peut sans doute s’étonner de la présence de Jean-Marie Le Pen en Afrique, mais ce serait méconnaître les relations que le Front national a tissé au cours de son histoire avec plusieurs dirigeants africains. En effet certains thèmes frontistes trouve un écho favorable dans le continent, tels que le chacun-chez-soi, le culte de l’ordre et de la patrie, l’obsession identitaire, le dogme de la non-ingérence, l’angoisse qu’inspirent ici la mondialisation, là l’hydre djihadiste.

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Aisha Kadhafi

La fille de Mouammar Kadhafi, a mandaté l’avocat français Marcel Ceccaldi

Avocat français, Marcel Ceccaldi, a été commandé par Aisha Kadhafi pour représenter son frère, Saif al-Islam, un prisonnier politique qui a été détenu dans la ville de Zintan depuis 2011.

Les cas précédents de Ceccaldi inclus la défense pour Bashir Saleh, ancien président de la Jamahiriya libyenne et l’ancien Premier ministre, Baghdadi Mahmoudi. Il a combattu l’extradition illégale de Baghdadi Mahmoudi de la Tunisie à l’aube la Libye à Tripoli.

Ceccaldi espère convaincre le Conseil de sécurité de l’ONU d’annuler le mandat d’arrêt émis à l’encontre de Saif al-Islam, qui annulera l’enquête menée par la Cour pénale internationale à La Haye. Il cherchera également l’annulation du mandat d’arrêt contre Abdullah Senussi.

Il prévoit rencontrer Saif Kadhafi et les notables de la ville de Zintan et aider à la médiation vers une authentique réconciliation entre toutes les parties en conflit.

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Maître Marcel CECCALDI, Avocat du collectif des familles des victimes de Mina

Du 24 Septembre 2015 au 28 février 2016, nous sommes à plus de cinq mois de la tragédie de Mina. Jusque-là, la « Oumma islamique » (la communauté islamique), ignore encore les raisons de la tragédie qui a coûté la vie à plusieurs milliers de ses fidèles.

Le gouvernement Saoudien, organisateur principal du pèlerinage a déjà opté pour la voix de silence. Par ailleurs, les autorités de certains pays victimes, comme le Mali, communiquent moins avec les familles des victimes.Face à cette attitude sournoise, le collectif des familles victimes de la bousculade de MINA a sollicité deux avocats, dont Maître Marcel CECCALDI, un avocat français, pour être ses conseillers juridiques, afin de tirer les choses au clair. Approché par notre rédaction, Me CECCALDI nous a confié que «c’est un droit légitime que les ayants droits des victimes prétendent savoir dans quelles conditions cette tragédie s’est produite.».

Lisez l’entretien.

Bonjour et présentez-vous ?

Bonjour, je me nomme Maître Marcel CECCALDI, avocat à la cour de Paris et conseiller juridique du collectif des familles victimes de la bousculade de MINA.

Quelle a été la position de l’Arabie Saoudite suite à la tragédie de Mina?

A la suite de la tragédie de Mina qui remonte, je rappelle au 24 Septembre 2015, c’est-à-dire, il y a plus de cinq mois, le gouvernement saoudien, non seulement n’a rien fait mais, il a tenu à placer une sape de plonge sur les circonstances exactes de cette tragédie. Pourquoi, parce que le sujet est sensible, parce que le gouvernement saoudien a conscience que les conditions de désorganisation sur place de ce pèlerinage, est de nature à mettre en cause son notoriété.

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